L'idée du recours à la castration chimique toujours d'actualité L'idée d'une extension du recours à la castration chimique pour éviter la récidive progresse au sein du gouvernement en France après le meurtre d'une femme, reconnu par un homme déjà condamné pour viol. Dans le cadre d'un projet de loi qui sera présenté au Parlement en octobre, la ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie , a proposé jeudi, d’après REUTERS , d’appliquer cette méthode. Il s’agirait d’utiliser ce traitement, censé inhiber les pulsions sexuelles, durant les périodes d'aménagement de peine des détenus ou lorsqu'ils sont soumis à une obligation de suivi. En cas de refus, le délinquant sexuel serait remis en prison. Ainsi, ce dernier sera confronté à un dilemme car pour lui «ce sera la castration chimique ou la prison » selon les propos de la ministre de la justice. Manuel da Cruz, qui a avoué l'enlèvement et le meurtre cette semaine d'une joggeuse, avait déjà été con...
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