Vers l’ouverture d’une filière à l’Université de Thiès
Pour faire face au vieillissement des géomètres et aux problèmes d’assainissement, les autorités envisagent l’ouverture prochaine d’un département de géomantique à l’Université polytechnique de Thiès. Les géomètres, qui étaient ce samedi en assemblée générale, veulent être davantage impliqués avant tout assainissement ou occupation du sol.
Le vieillissement des géomètres sénégalais constituent une sérieuse menace à la survie de leur profession. Pourtant, selon Amadou Fall « Naïdé », président de l’Ordre national des géomètres sénégalais (Onges), Ils constituent « un tout », puisque devant intervenir avant tout travaux d’assainissement ou d’occupation du sol. Pour le directeur du Cadastre, Tahibou Ndiaye, un pays qui ne maîtrise pas son foncier rate sa planification. Il estime alors qu’« il est urgent d’avoir une école de formation de peur de perdre cette profession ».
C’est pour ces raisons, note-t-il, qu’il est envisagé de créer une licence et un master en géomantique. Les services compétents de l’Etat sont en discussion avec l’Université polytechnique de Thiès pour l’ouverture d’un département dans cette institution. Toujours dans cette optique, le Ministère de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle prépare déjà des curricula. Selon le directeur du Centre d’entreprenariat et de développement technique (Cfdt), l’objectif est de doter notre pays de géomètres très bien formés.
D’après Tahibou Ndiaye, « on ne sent pas la profession» de géomètre. A l’en croire, une part belle est faite au cadastre rural au niveau du Mca. « La profession doit se positionner » parce que, avance-t-il, son implication pourrait permettre de résoudre les nombreux problèmes d’assainissement que l’on rencontre actuellement. Pour lui, elle le doit d’autant plus qu’elle est vieillissante, le cadastre urbain faible, celui rural presque inexistant et la délimitation des différentes collectivités locales reste à faire. « Tout l’arsenal juridique, pour ce faire, existe », a-t-il rappeler.
L’Onges était, samedi dernier, en assemblée générale. Il veut une participation effective, dans les points susmentionnés et « un accompagnement du plan Jaxaay dans les différentes régions du pays ».
Pour faire face au vieillissement des géomètres et aux problèmes d’assainissement, les autorités envisagent l’ouverture prochaine d’un département de géomantique à l’Université polytechnique de Thiès. Les géomètres, qui étaient ce samedi en assemblée générale, veulent être davantage impliqués avant tout assainissement ou occupation du sol.
Le vieillissement des géomètres sénégalais constituent une sérieuse menace à la survie de leur profession. Pourtant, selon Amadou Fall « Naïdé », président de l’Ordre national des géomètres sénégalais (Onges), Ils constituent « un tout », puisque devant intervenir avant tout travaux d’assainissement ou d’occupation du sol. Pour le directeur du Cadastre, Tahibou Ndiaye, un pays qui ne maîtrise pas son foncier rate sa planification. Il estime alors qu’« il est urgent d’avoir une école de formation de peur de perdre cette profession ».
C’est pour ces raisons, note-t-il, qu’il est envisagé de créer une licence et un master en géomantique. Les services compétents de l’Etat sont en discussion avec l’Université polytechnique de Thiès pour l’ouverture d’un département dans cette institution. Toujours dans cette optique, le Ministère de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle prépare déjà des curricula. Selon le directeur du Centre d’entreprenariat et de développement technique (Cfdt), l’objectif est de doter notre pays de géomètres très bien formés.
D’après Tahibou Ndiaye, « on ne sent pas la profession» de géomètre. A l’en croire, une part belle est faite au cadastre rural au niveau du Mca. « La profession doit se positionner » parce que, avance-t-il, son implication pourrait permettre de résoudre les nombreux problèmes d’assainissement que l’on rencontre actuellement. Pour lui, elle le doit d’autant plus qu’elle est vieillissante, le cadastre urbain faible, celui rural presque inexistant et la délimitation des différentes collectivités locales reste à faire. « Tout l’arsenal juridique, pour ce faire, existe », a-t-il rappeler.
L’Onges était, samedi dernier, en assemblée générale. Il veut une participation effective, dans les points susmentionnés et « un accompagnement du plan Jaxaay dans les différentes régions du pays ».
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